Après une introduction présentant les différentes techniques actuelles de l'archivage de soi (Lifelogging, Quantified Self, Digital legacy) l'auteur examine les conséquences que ces pratiques peuvent avoir d'une part sociologiquement puis plus précisément en ce qui concerne leur archivage par les services d'archives concernés. Il conclu que ces nouvelles techniques sont pour l'instant marginales mais qu'elles pourraient se généraliser avec l'utilisation des smartphones comme capteur universels. Il se posara alors un problème de gestion de la volumétrie de données induite par ces pratiques.